Le juge d’enquête préliminaire de Turin aurait identifié trois raisons pour lesquelles la Juventus ne risque pas d’être sévèrement punie en raison de ses récentes pratiques financières.
Tuttosport détaille comment le juge Ludovico Morello cherche à rejeter les différentes demandes formulées par les procureurs qui ont mené l’enquête sur les comptes et le comportement financier de la Juventus, soulignant trois raisons spécifiques pour lesquelles les choses ne sont pas aussi graves qu’elles le semblaient au premier abord.
Le premier d’entre eux est axé sur l’utilisation de plus-values falsifiées ; Morello a souligné à quel point les gains en capital falsifiés sont une pratique répandue et constante dans le football, suggérant qu’il n’y avait aucune intention criminelle ou malveillance de la part de la Juventus.
Morello a également noté que la direction de la Juventus avait un dossier vierge et était, comme on pouvait s’y attendre, sensible aux conséquences des enquêtes.
Enfin, un élément clé mis en évidence par Morello était la pandémie de COVID en 2020. Le juge a suggéré que la Juventus n’aurait pas agi de cette manière si la pandémie n’avait pas menacé la sécurité financière de tous les clubs de football en Italie. Cela est lié à l’utilisation par le club de paiements de salaire cachés, ce qui ne se serait pas produit sans la pandémie.
Inchiesta <a href="https://.com/hashtag/Juve?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#Juve</a>, il Gip: ‘Plusvalenze prassi costante, manovra stipendi nata per il Covid’ <a href="https://t.co/hzdNKXnzRN">https://t.co/hzdNKXnzRN</a>
— calciomercato.com (@cmdotcom) <a href="https://.com/cmdotcom/status/1601854440893710336?ref_src=twsrc%5Etfw">December 11, 2022</a>
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